Claude JeanPhilippe marchait au coup de coeur pour les films comme pour ceux qu’il rencontrait. La passion du cinéma suffisait.
En 1981, avec des usagers de la Cinémathèque française nous avions créé un collectif de défense pour que la salle de Beaubourg ne soit pas fermée et j’en étais la porte-parole. La Cinémathèque, juste après l’élection de Mitterrand était alors dirigée par Andre-Marc Delocque-Fourcaud.
Claude-Jean Philippe m’avait invitée dans son émission de France culture Le Cinéma des cinéastes à venir en parler. Caroline Champetier participait aussi à l’animation de l’émission ce jour là.
Par la suite, il m’avait proposé de revenir dans l’émission au sujet de Tay Garnet ou de Douglas Sirk.
Et j’allais aussi au cinéma L’Arlequin où il animait des séances.
Je garde un souvenir chaleureux des moments passés ensemble.